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Kilometre durumu
34.500 km
Şanzıman tipi
Vites kutusu
İlk kayıt
02/1993
Yakıt türü
Benzin
Güç
362 kW (492 PS)
Satıcı
Bayi
Temel veri
- Kasa tipi
- Spor araba
- Tip
- Kullanılmış araba
- Tahrik tipi
- Arka taraf
- Oturma yerleri
- 2
- Kapılar
- 2
- Ülke versiyonu
- Fransa
Araç geçmişi
- Kilometre durumu
- 34.500 km
- İlk kayıt
- 02/1993
- Son araç servisi bakımı
- 03/2023
- Araç sahibi
- 4
- Araç servis defterine uygun bakımı yapılmış
- Evet
Teknik Bilgiler
- Güç
- 362 kW (492 PS)
- Şanzıman tipi
- Vites kutusu
- Vitesler
- 6
- Silindir
- 12
Enerji tüketimi
- Yakıt türü
- Super Plus 98
Donanım
- Konfor
- Deri koltuklar
Renk ve Döşeme
- Araç dış rengi
- Sarı
- Üreticiye göre renk
- Superfly yellow
- İç donanım rengi
- Siyah
- Malzeme
- Tam deri
Araç açıklaması
Succédant à la légendaire Countach apparue en 1974 (après 26 ans de carrière !), la Diablo est officialisée en 1990 comme la première Lamborghini née durant l'appartenance de la marque au groupe Chrysler qui l'avait rachetée en 1987. Elle en restera également la seule. Avec 325 km/h annoncés, Lamborghini profitait donc du salon de Detroit pour dévoiler celle qui devait remettre les pendules mondiales à l'heure de Sant'Agata Bolognese.
Grâce au financement américain, Lamborghini peut investir plus d'argent dans le développement d'un nouveau modèle qu'il n'en a jamais eu l'occasion. Ainsi l'objectif est clair : faire mieux que Ferrari et donc proposer LA meilleure supercar du marché ! En 1990, la F40 n'est plus produite mais sur le marché des super-sportives, un duel au plus haut niveau se dessine : Diablo vs Testarossa.
Dessinée d'une main de maître par Marcello Gandini dont elle porte la signature, la Diablo a néanmoins été retouchée par le centre de style américain de Chrysler qui en a affiné les traits et retouché l'aérodynamique en soufflerie. Pour se donner une idée de ce à quoi aurait dû ressembler la Diablo, il suffit de regarder du côté d'une certaine Cizeta Moroder V16, dont Gandini, par rancune, aurait livré son dessin original destiné à la Diablo. Néanmoins, au final le style de la Diablo est plus agréable que celui de la Cizeta et résiste mieux à l'épreuve du temps et des modes.
Par rapport à la Countach, Lamborghini a revu en profondeur son V12. Alésage et course augmentés, nouvelle gestion d'injection électronique (LIE) maison (une par banc de cylindres), culasse revue et taux de compression de 10:1 et au final, moins de pièces utilisées pour un gain de poids. Avec ses 5.7 L de cylindrée, ses 4 arbres à cames en têtes commandant les 48 soupapes lui permettant de développer dans sa version originale 492 valeureux purs sangs à 7000 tr/mn et un couple copieux de 580 Nm à 5500 tr/mn, le bloc de la Lamborghini Diablo reste un monument de l'Automobile dont il est impossible d'exploiter tout le potentiel sur route ouverte. La vitesse à laquelle il descend son réservoir de 100L n'est pas là pour le démentir...
Cette Diablo est un des 900 exemplaires de la première série livrée neuve à Paris en 1993. Les premières séries se distinguent par le V12 5.7 litres en propulsion et la grande casquette de tableau de bord. Terminé en Super Fly Yellow avec l'intérieur noir soit la même configuration que lors de la présentation au Salon de Genève 1990. Ella a connu 4 propriétaires, toujours en France.
La voiture est en très bel état de présentation. Une peinture complète de belle qualité a été réalisée il y a quelques années, entorse à l'origine le bloc des feux arrière et les rétroviseurs, ont été peints en noir. Un detailing complet à été réalisé sur la voiture.
Mécaniquement elle fonctionne parfaitement. Le V12 s'ébroue sans difficultés avec une sonorité exceptionnelle. La boite passe facilement sans accrocher.
Cette Diablo est visible dans nos locaux sur rendez-vous.
Crédits photo Nino Hammet pour Eleven Cars
Grâce au financement américain, Lamborghini peut investir plus d'argent dans le développement d'un nouveau modèle qu'il n'en a jamais eu l'occasion. Ainsi l'objectif est clair : faire mieux que Ferrari et donc proposer LA meilleure supercar du marché ! En 1990, la F40 n'est plus produite mais sur le marché des super-sportives, un duel au plus haut niveau se dessine : Diablo vs Testarossa.
Dessinée d'une main de maître par Marcello Gandini dont elle porte la signature, la Diablo a néanmoins été retouchée par le centre de style américain de Chrysler qui en a affiné les traits et retouché l'aérodynamique en soufflerie. Pour se donner une idée de ce à quoi aurait dû ressembler la Diablo, il suffit de regarder du côté d'une certaine Cizeta Moroder V16, dont Gandini, par rancune, aurait livré son dessin original destiné à la Diablo. Néanmoins, au final le style de la Diablo est plus agréable que celui de la Cizeta et résiste mieux à l'épreuve du temps et des modes.
Par rapport à la Countach, Lamborghini a revu en profondeur son V12. Alésage et course augmentés, nouvelle gestion d'injection électronique (LIE) maison (une par banc de cylindres), culasse revue et taux de compression de 10:1 et au final, moins de pièces utilisées pour un gain de poids. Avec ses 5.7 L de cylindrée, ses 4 arbres à cames en têtes commandant les 48 soupapes lui permettant de développer dans sa version originale 492 valeureux purs sangs à 7000 tr/mn et un couple copieux de 580 Nm à 5500 tr/mn, le bloc de la Lamborghini Diablo reste un monument de l'Automobile dont il est impossible d'exploiter tout le potentiel sur route ouverte. La vitesse à laquelle il descend son réservoir de 100L n'est pas là pour le démentir...
Cette Diablo est un des 900 exemplaires de la première série livrée neuve à Paris en 1993. Les premières séries se distinguent par le V12 5.7 litres en propulsion et la grande casquette de tableau de bord. Terminé en Super Fly Yellow avec l'intérieur noir soit la même configuration que lors de la présentation au Salon de Genève 1990. Ella a connu 4 propriétaires, toujours en France.
La voiture est en très bel état de présentation. Une peinture complète de belle qualité a été réalisée il y a quelques années, entorse à l'origine le bloc des feux arrière et les rétroviseurs, ont été peints en noir. Un detailing complet à été réalisé sur la voiture.
Mécaniquement elle fonctionne parfaitement. Le V12 s'ébroue sans difficultés avec une sonorité exceptionnelle. La boite passe facilement sans accrocher.
Cette Diablo est visible dans nos locaux sur rendez-vous.
Crédits photo Nino Hammet pour Eleven Cars
Leasing
detailpage.leasing.title ELEVEN CARS
detailpage.leasing.oneTimeCosts
- detailpage.leasing.configurator.downPayment
- € 5.410,74
- shared.listItem.leasing.transferCost
- Keine Angabe
- shared.listItem.leasing.registrationCost
- Keine Angabe
- detailpage.leasing.total
- € 5.410,74
detailpage.leasing.generalData
- detailpage.leasing.totalLeaseAmount
- € 40.450,74
- detailpage.leasing.contractType
- Kilometerleasing
- detailpage.leasing.mileage p.a.
- 0 km
detailpage.leasing.monthlyCosts
- detailpage.leasing.duration
- 48 Monate
- detailpage.leasing.monthlyInstallment
- € 730,-
detailpage.leasing.additionalInformation
- detailpage.leasing.reducedKmPayment
- € 0,0000
detailpage.leasing.tip.headline
detailpage.leasing.loanBrokerage Volkswagen Leasing GmbH, Gifhorner Str. 57, 38112 Braunschweig
Die Angaben entsprechen zugleich dem 2/3 Beispiel nach § 6a Abs. 3 PAngV.
Satıcı
BayiELEVEN CARS
İletişimGonzague Ruchaud
- KDV belgelenebilir
- Satıcı fiyatı